Cela suscita inquiétudes, interrogations, et des hypothèses, dont la plus vraisemblable me semble être que le cours souterrain, lessivé, aurait débité des algues qui se seraient déposées dans le lit du ruisseau en décrue, où, demeurées hors de l’eau à la lumière et à des températures différentes de celles du souterrain où elles auraient vécu, elles auraient noirci en se décomposant. L’eau était claire comme à l’accoutumée.
En définitive, l’attention prêtée au ruisseau les 9, 10 et 30 mai, a permis de constater l’état de l’eau, ainsi que de la faune et de la végétation aquatiques. Des taux d’éléments nutritifs, tels que le phosphore et l’azote, n’ont été jugés excessifs, et les présences de trichoptères, d’éphémères, de gammares, entre du cresson de fontaine foisonnant depuis la retenue du lavoir, ont été notées pour nous en souvenir.
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